Prsatá macecha přikazuje nevlastnímu synovi, aby pohladil jeho velkého ptáka

Je te vois souvent mater mon cul.

Tu rêves. Dis-toi que tu rêves.

Tu rêves un jour de pouvoir lécher mon trou de cul.

Mais ça sera juste, ça va être juste qu'une fantaisie.

Ça va s'arrêter là.

Et des fois, je te vois même en train de sniffer mes gants en plastique

pour sentir ma chatte, puis pour sentir l'odeur de ma mouche.

Tu me vois souvent en train de jouer avec.

Je sais ce que tu fais en cachette.

Ne pense pas que j'ai les yeux fermés.

Et ça sent déjà la bête.

Ça sent déjà l'odeur du pervers que tu es.

Là, tu t'es pas gênée.

Tu t'es jamais gênée à baisser ton pantalon pour vraiment en train de te branler, là.

C'est incroyable.

L'odeur de la bite sent partout, dans ta chambre, partout dans la maison.

Même dans ma chambre, je te vois.

Je t'ai surpris l'autre jour en train de branler sur mes stréaux.

Tu peux te branler autant que tu veux, ok?

Mais jamais, jamais, jamais, tu auras cette bouche-là autour de ta queue.

Jamais. Parce que cette queue, cette bouche, est faite pour les grosses queues.

Pas pour cette queue stupide que tu as.

Cette petite chose.

...